Est-ce la solitude qui rend fou ? LIBRE

Mes pensées me ramener toujours & encore à eux. Je ne savais pas quoi faire, comment sortir de là ? Comment arrêter de penser ? J'aimerais tellement ne pas penser, ne serais-se que deux minuscules secondes. J'aimerais être bien, ne pas me posé de question. J'avais l'impression de devenir folle. Même l'air que je respiré, j'avais l'impression de ne pas le mérité. En faite, je ne méritais pas plus d'être vivante aujourd'hui que d'avoir passé quelque année avec les êtres exceptionnelle qu'il était. Personne, non absolument personne ne pourrais imaginais la culpabilités qui c'est enfermée à double tours dans mon cœur, laissant place à cette p*tain de dépression, comme une chaîne incassable, comme si l'on m'avait enterré vivante, comme si l'air se faisait rare. Je pleurais sans cesse, il fut un tant ou pleurer pour moi était une honte, sa l'ai toujours. J'ai honte de moi même, honte de les avoirs laissé, honte de n'avoir rien pus faire. Que l'arc en ciel était beau là bas, il ne me ressemblais pas, moi, louve remplie de noirceur & de sang au contraire cette arc de cercle était une preuve de la joie que certains peuvent avoir, ce n'est pas mon cas. J'aimerais tellement avoir un arc en ciel dans le cœur au lieu d'un poignard qui le transperce et le fais saigné un peut plus chaque jour.

C'est assez de rêvasser, l'heure est venu de courir, de rire. Après tout, je suis folle, complètement folle, la maladie me rend folle ! Je m'élançais sur l'arc en ciel, avec un tel puissance que j'aurais crus pouvoir volée mais je n'arrivais pas à le rattraper il semblait toujours plus loin.. J'abandonnais l'idée de le rattraper pour me roulé dans l'herbe, elle était fraîche, il y resté de la rosée comme si toute les larmes de mon corps c'était déversé ici. Je savais que c'est terre appartenait au Clan de la terre j’espérais qu'il ne me chasserais pas, je suis bien ici, tellement bien ! Mon rêve était en train de s'exaucer, je penser moins à eux. Se qui ne m'empêcher pas d'être folle. Serais-ce le faite d'être seule qui me rendent ainsi. A vrai dire sa m'était égale, je souriais, je courais & je me roulais dans l'herbe comme jamais de ma vie je ne l'avais fais. C'est bon. Mais le bonheur à toujours une fin et ne n'est pas au milieu de cette clairière verdoyante que je trouverais ne serais-ce une souris pour me sourire ou une flaque d'eau pour m’abreuver. Je fis un clin d’œil à cette belle plaine & je promis à l'arc-en-ciel de revenir, pour qu'il transforme mon cœur comme il venait de le faire, puis je me mis en route, dans la même direction, celle dans laquelle j'allais avant de tombé sur ce havre, ou plutôt sur cette merveille. J'avançais tranquillement car je n'étais pas si pressée et puis je ne risquais pas de trouver quoi que se soit en courant & sautant partout comme une chèvre.