Tu la sent venir ? << Libre >> - LOST.

Pandore était venue ici dans le but de croiser quelqu'un soit un de ses guerriers pour << s'amuser >> un peu avec lui, de façon à se relaxer. Soit de se trouver une nouvelle victime pour en faire un nouveau soldat pour sa fidèle armée d'âmes volées. La louve sombre marchait doucement, grâce à sa petite taille elle se faufilait entre les troncs des arbres sans aucune difficulté. Un malicieux sourire s'affichait sur son visage, tout comme pour exprimer son envie de croiser quelqu'un... Après avoir parcouru le Marrais en tout son long, elle resta à son extrémité, afin de bloquer la personne qui voudrait en sortir ou y rentrer.

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L'impératrice de la mort était tranquillement allongée sur le sol, regardant les étoiles, jouant une personne naïve. Mais tous ses sens étaient à l'écoute, son ouïe, son odorat ... parfaitement en action. La louve ténébreuse observait les étoiles de façon à paraitre totalement innocente. Elle plaça sa queue sur l'emplacement de ses motifs du dos, pour les dissimuler, et de se fait cacher au mieux son identité. Son regard fixait les étoiles mais il était vide. Comme si elle ne pouvait ressentir plus aucunes émotions.

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Les minutes passaient lentement, mais toujours personne ne venait pointer le bout de son museau. Pandore fut assez déçu, elle s'attendait à une soirée plutôt amusante. Mais personne pour jouer avec elle.

L'ambiance était lourde, et grâce a sa position proche du sole, l'impératrice de la Mort, pouvait ressentir tout les frémissement du sole, a quelques centaines de mètres autour d'elle. Elle n'eut pas a attendre longtemps avant de ressentir de faible frémissements qui provenait de quelques dizaines de mètres. Quelques instants plus tard une voix de genre masculine prononça son nom. Pandore avait durant son attente préparer un plan très stratégique, alors comme elle l'avait établie, elle resta immobile comme le demandait son stratagème. Puis pour accompagner l’appelle de son nom, l’individu se mis a rire de manière sadique. Il ne fessait pas peur, bien sur, Pandore n'a peur de rien, du moins elle ne le montrera jamais, elle est trop fière pour ça. Quand soudain l'inconnue surgit de nul par avant de se renverser devants le nez de Pandore.

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C'est alors que l'Alpha Noir, le défit du regard a son tour, c'est complexe de fixé son regard car la nuances dans les yeux du loup sont très ressemblantes. Se fut presque troublant pour Pandore. Mais elle ne ressent aucune peur, car elle est l'impératrice de la Mort. Et rien ne pourrais la faire reculer, et surtout pas un jeune loupiot dans se genre, qui se crois plus puissant que l'Alpha Sataniste. Pandora Lui lance alors, d'une voix assez stridente et sèche;

<< Oh, mais qui vois - je ? >>

Ca voix était calme, mais l'atmosphère se rafraichit, soudainement, le brouillard arriva lentement. La température chutait rapidement. Et le vent se fessait de moins en moins présent. Pandore, resta allonger, son corps entier en contacte avec le sole. ressentant de se fait toutes les fibrations que le sole pouvait lui transmettre. L’impératrice se permit de montrer dangereusement les crocs. Et ainsi de pousser un grognement sourds.

Après avoir entendue les mots du guerrier Pandore se souvient de son chère guerrier. L'un des plus fidèle enfaite... C'était surement un des seuls que Pandore ne traitait pas comme un intrus. Elle stoppa immédiatement son grognement inutile. En laissant place a un sourire sadique sur son propre visage. L'alpha resta allonger, tout en, en profitant pour relever sa tête, et donner une expression de fierté. Sous les mots doux de Kario, Pandora sut automatiquement que c'était une ruse, ou quelques mots sans importances. Mais elle n'y prêta pas grande attention, elle était d'humeur joueuse aujourd’hui, bien sur, elle n'avait en tête que de multiples jeux, tous plus horrible les uns que les autres, elle rangea ces sombres pensées de côté, de façon a jouer parfaitement son rôle.

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<< Je te remercie, mais cependant j'aimerais savoir quelle sont tes dernières recrutes. >>

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Lui demanda Pandore, d'une voie calme et parfaitement maitriser. Sur ces mots la température chuta, a nouveau d'une demi - douzaine de degrés. Elle se lécha le museau afin de le rendre humide. La louve au pelage noir finit par se lever. Et malgré le fait qu'elle sois parfaitement droite, sa taille restait considérablement minime a côté de celle du Guerrier, Kario.

Le marais semblait s’assombrir de plus en plus. Et la glace l'emporter de plus en plus sur l'endroit, rendant chacune des goûtes d'eau présente sur la végétation se transformer en givre. Il faisait froid. Et un vent glaciale le promenait sur l'horizon. Bien sur on ne voyait pas bien loin, avec le léger brouillard de brumes qui enveloppait quasiment tout le marrais. Pandore observait au loin, comme si ces yeux pouvait vaincre la muraille que créait le brouillard. Il lui suffisait de les plisser un peux pour pouvoir complètement se balancer entre les nuages de brumes. Puis quand elle retourna son visage pour faire face a celui de Kario. Elle fut paralyser, comme si une force suprême l'aurait empêcher de faire n'importe qu'elle geste. Comme si ces pattes c'était soudainement fixer au sole, comme si son dos venait de se crisper, comme si son regard ne pouvait pas quitter celui de Kario... * VA AU DIABLE AKUI ! * Puis une foie la connexion entre les deux canins fut interrompue; L'Impératrice se projeta en avant, et renversas Kario sur le sole. Lui plaquant parfaitement les épaules contres le sole de façon a se qu'il ne puisse pas se relever. Tout cela avec une agilité parfaite. Le regard pleins de rage, et la mâchoire crispé, les canines ressortant; Pandore hurla ;

< QU'AS TU VUS ?! >

Pandore prenait un malin plaisir a enfoncer le bout de ces griffes dans la chair de son Guerrier, bien sur ça ne causait que le minces égratignures, pas de quoi en faire une pleurodynie.