Le chant de l'âme [Plagio et Solème seulement] Terminé

Couchée sur le ventre, Maeya savourait le contact de l’herbe tendre et souple sous son ventre, tout comme la légère brise qui lui soufflait dans la fourrure. Les yeux fermés pour mieux apprécier l’expérience, elle humait doucement les différentes odeurs de terre, de fleurs et de petits animaux qui flottaient dans l’air.

Elle essayait de se vider l’esprit. La solitude commençait à lui peser et depuis un moment déjà elle ressentait l’appel des loups, le besoin de trouver un compagnon et l’envie immense de fonder une famille. Mais elle n’osait s’approcher des loups. Elle n’appartenait à aucun clan. Comment ses compères la considéreraient-ils? Comment réagiraient-ils à sa présence? Et puis les mâles étaient tous si agressifs… Elle n’avait pas envie d’un compagnon qui cherche des noises aux autres loups et meurt en combattant.

Pourtant, elle avait tant envie de rencontrer un autre loup, ou une autre louve. Elle avait tant besoin de parler et de se confier à quelqu’un, de sentir une présence à ses côtés. Elle n’en pouvait plus d’être si seule… Lentement, elle s’assit sur le sol, puis elle poussa un long hurlement. Un hurlement de douleur, de chagrin, de solitude et de peur.

En écoutant l’écho de son hurlement, elle eut le cœur brisé. Elle savait bien que de crier attirerait d’autres loups, mais au fond d’elle elle le voulait. Et puis si ça tournait mal, elle ne serait pas une grosse perte… Comme chaque fois que son cœur se brisait, elle se mit à chanter :

Dans un monde si seule marche une jeune louve
Le cœur brisé par la solitude,
Cherchant sans arrêt quelqu’un qui puisse traverser la douve
Que la peur et le doute ont créée.

Un ami, rien de plus, c’est ce qu’elle demande
Quelqu’un pour prouver qu’elle existe réellement,
Se confier, être utile, c’est ce qu’elle demande
Être aux yeux d’un autre importante.

Mais qui saura combler ce néant oppressant?
Qui osera trahir son clan?
Pour parler à un être qui n’est que nuisible,
Et qui ne peut qu’attirer le malheur…

Oui, c’est ainsi que Maeya se voyait. Continuant à fredonner l’air de sa mélopée, la louve commença à se dire que ça ne valait pas la peine de rester là plus longtemps. Même si un autre loup venait, elle ne ferait qu’avoir peur et s’enfuir. Et puis elle était sur le territoire de l’eau, si quelqu’un venait, il la chasserait. Elle n’avait rien à faire là. Elle versa une dernière larme et se dressa sur ses pattes, prête à s’enfuir loin de la chute.

Solème se baladait, sous cette douce brise. Le soleil chaud lui donnait plus de pouvoir, elle en avait bien besoin vu qu'elle est sur le territoire de l'eau. Il lui faut beaucoup d'énergie pour faire évaporer une grande quantitée d'eau si un loup l'attaquait.
Pour le moment les jours étaient durs au clan du feu, elle était la seule Bêta et comme il n'y a pas d'alpha, elle s'occupe du clan comme une Alpha ... Bien qu'elle ne le soit pas ! Elle entendit alors un hurlement de détresse ou de tristesse, elle se mit à courir dans sa direction au cas où ce serait l'un du clan du feu ! Plus elle se rapprocha plus elle entendit le bruit d'eau des Chutes Magistrales.
Quand elle arriva une louve couchée fredonnait un chant triste, qu'une louve de son clan chantait aussi ...
Elle m'a vue !! pensa-t-elle quand la louve bleu clair jeta un regard dans sa direction.
Alors autoritairement elle dit pour se faire démasquer:

Qui es tu !? et que fais tu ici, tu ne devrais pas être là moi non plus ...

Elle se tut en voyant le visage étonné, apeuré et triste de la louve inconnue. Mais elle ne pus retenir ses pouvoirs, de la fumée épaisse noire sortie de sa gueule (fermée pourtant) , le soleil était à son zénith, à ce stade elle pouvait presque assécher les chutes.
Mais la colère de ne plus arriver à contrôler ce pouvoir transforma la fumée épaisse en petites flammes. Il n'était pas temps d'avoir un combat autrement ça chaufferait !

Dernière édition par Pinkie le 28/4/2012, 04:54, édité 2 fois

Plagio

Plagio se sentait seul. Son cœur, au fur & a mesure que les jours passaient, se serrait. & il souffrait de cette solitude, il avait l'impression que le monde se refermait sur lui. Il n'arrivait plus à admirer le paysage, pourtant d'une beauté époustouflante, & même quand les oiseaux venait à lui pour le consoler, il ne pouvait s'empêcher d'être morne. Il avait besoin de la compagnie des siens, car il avait beaucoup de mal à communiquer avec les autres animaux, soit ils prenaient la fuite, ou alors, il se moquait de lui. Mais Plagio était tellement anéantit qu'il n'arrivait même pas à répondre, ou a leur apprendre les bonnes manières. Il se contentait d'observer, le regard lointain, & les pensées ailleurs. Il songeait, que peut-être il mourrait, tellement son cœur serait sans joie. Il se demandait aussi, comment certain loup arrivait a vivre, sans personne à qui parler. Il était tellement plonger dans ses interrogations qu'il eu dut mal à entendre le long hurlement.

Plagio dressa mollement les oreilles, pensant que c'était le fruit de son imagination. Mais, comment pouvait-il y avoir autant de tristesse & de désolation dans se crie. Il se leva soudainement, en alerte. Ce pouvait-il qu'il y est quelqu'un qui ressente, comme lui, ce besoin. Cet étrange besoin de se confier & de parler, à autre chose que des végétaux ou des rongeurs. Il en était sûr, c'est pour cette raison qu'il s’élança vers la source de l'Appel. Le Chutes Magistrales.

Ses pattes foulaient le sol rapidement. Il était pressé d'arriver, & une forte énergie s'empara tout d'un coup de lui. Il accéléra l'allure. Le vent lui fouettait le visage, mais Plagio trouvait cela agréable, & à présent qu'un vif espoir était monté en lui, il appréciait l'odeur remplit de milles parfums, les couleurs pétillantes des fleurs & les forts rayons du Soleil sur son pelage bleu. Soudain, le bruit des chutes s'introduit dans ses oreilles & il ralentit la pas, trottinant à présent sur une vaste pierre. Puis, une voix le fit légèrement sursauter & ses oreilles s’orientèrent vers cette voix. Il ne la connaissait pas, peu-être était-ce un nouveau dans le clan?! Non, il aurait du vérifier si il n'emportait pas d’épidémie avec lui, qui cela pouvait-il être dans ce cas? Il eu bientôt la réponse, car quand une douce brise vint lui lécher le pelage, il sentit avec elle une odeur de bruler. L'odeur caractéristique du Feu. Plagio espérait que l'intention de la louve -car il sentait bien qu'elle était en chaleur- était bonne, il n'avait pas vraiment envie de se battre.

Tandis qu'il se baissait pour traverser un tronc tombé, il sentit une autre odeur. Elle aussi était féminine, mais, elle ne portait pas d'odeur particulière, juste de la poussière... Plagio songea qu'elle devait être une solitaire. Puis, il immergea de la fine végétation & regarda aux alentours. Une louve aux couleurs orangées & rouge se tenait devant une louve blanche. Enfin, Plagio avait du mal à la voir, car les rayons du Soleil étaient tel qu'il devait plisser les yeux pour essayer d'y voir clair, néanmoins, même si la luminosité était forte, il remarqua que de la fumée sortait de la gueule -pourtant fermée- de la louve du feu. Elle avait aussi une posture assez offensive. Plagio se renfrogna, ses belles idées de rencontre tombèrent à l'eau, car il sentait de la tension dans l'air. & puis, comment une louve du feu osait-elle faire la loi sur les terres de l'eau. Plagio avança jusqu'à elle & dit d'une voix puissante & ferme.
« Je m'appelle Plagio, & je vous demande pourquoi une louve du feu vient faire la loi sur nos terres. »
Ce n'était pas vraiment une question, plutôt, un affirmation, mais Plagio s'en fichait. Il avait juste dit ça pour qu'une bagarre n'éclate pas. Soudain, il remarqua la beauté des lieux. Les chutes se déversaient dans un bassin aux eaux limpides. Des poissons aux éclats d'argents allaient se cacher derrière les algues qui se balançaient au rythme de l'eau. Mais Plagio du, à grand regrets, détourner ses yeux de ce magnifique spectacle pour les poser sur la louve.

Alors que Maeya allait définitivement quitter les lieux, son cœur manqua un battement. Une louve! Une louve du feu! Et elle ne semblait pas beaucoup être d’humeur. Pourtant, c’était elle qui était sur le territoire de l’eau. Et Maeya pouvait facilement se faire passer pour une louve de l’eau. Toutefois, elle ne voulait pas se battre. Lorsque de la fumée commença à s’échapper de la gueule (fermée) de la louve, elle eut un mouvement de recul. Du feu! Elle pouvait cracher du feu! Elle essaya de ne pas trop trembler, mais ne parvint qu’à réduire les spasmes qui l’envahissaient. Le loup qui avait failli la tuer était un loup du clan du feu. Et cette louve allait à son tour s’essayer. Mais cette fois, personne ne viendrait sauver Maeya.

Puis un loup, Plagio, si on en croyait ce qu’il disait, fit son apparition. Un autre! Maeya s’aplatit sur le sol, complètement terrorisé. Elle ne voulait pas qu’une bagarre éclate entre les deux. Essayant de se ressaisir, elle se dit qu’elle devait au moins tenter quelque chose.

Je vous en prie. Vous êtes venus ici pour moi, tous les deux, car vous avez entendu mon cri. Ne vous querellez pas.

Sa voix laissait trop paraître sa peur à son goût. Si l’un des deux avait envie de se battre, il ne pouvait pas ne pas remarquer que Maeya ne serait même pas une gêne. Elle essaya d’ailleurs de trouver un moyen de s’enfuir. Rien, la louve et le loup bloquait le seul passage. Elle était coincée…

Voyant un loup disant s'appeler "Plagio" elle ne pus refuser de répondre. Pourtant elle etait tracasser, elle était stresser, il suffisait que le loup de Clan de l'eau ai avertir son clan et Solème serai dans un asser gros pétrin. Alors elle répondit, même si de la fumer sortirais de sa gueule :

Je suis venue en amie ... Je ne veux pas de bataille, je ... je ..... j....... [Je change, le orange tue les yeux]

Elle se sentie d'un coup tres mal, le soleil à son zénith total de plus il faisait chaud. Sa fumer devenue flamme elle ferma sa gueule en vitesse elle ne voulais pas faire peur c'est loup. Surtout à cette jeune louve qui semblait si stresser.
Même la gueule fermer des flammes sortait, Elle avais peur, mais elle repensa qu'elle était insensible au feu.
Mais comme une bombe elle cracha un jet de feu puissant, Étonner d'elle même elle se jeta à l'eau pour se refroidir.
Les deux loups etait étonner et elle vie que la jeune louve étais sur le point de fuir de peur. Mais elle avais accumulé trop de chaleur, elle cracha des flammes tellement puissant qu'elle etait bleu. Elle stressai, elle était en colère, apeurer, traumatiser de montre c'est pouvoirs sur un clan ennemie alors qu'elle est censé etre pacifique, son souffle était de plus rapide, son coeur battais tres fort. Alors pour se détendre et bue de l'eau ,beaucoup d'eau pour se rafraichire et pouvoir de nouveaux controller c'est pouvoir et elle cria :

Je suis désoler,je suis pacifique, JE SUIS PACIFIQUE ....

Les courant des chutes la fie couler au fond de l'eau. Le courant était trop fort pour qu'elle remonte. Puis elle ferma les yeux. Quand elle toucha de son dos un pierre qui passer en traver des chutes elle fie un cracha de feu tres puissant à ses pates. Le courant fue de telle qu'il lui permetie de remonter à la surface rapidement. Elle sortie rapidement de l'eau et tomba de coter sur le sol. Elle etait a bout de force, pourtant tout etait passé si vite. Elle fermie c'est yeux pour garder le peu d'énergies qu'il lui restais elle ne pouvais pas abandonner maintenant sont clan avais besoin d'elle ! Les deux autre loup regardait la scène étonner. (bien qu'elle ne sais pas se qu'il ont fait entre temps). Elle aurait voulue se lever et fuir de honte, mais c'etais impossible.

Dernière édition par Pinkie le 28/4/2012, 04:55, édité 2 fois

Plagio

Plagio sentit que la louve orangée changeait de comportement. Il vit dans ses yeux qu'elle était stressée. Mais, Plagio n'y fit pas trop attention, il était beaucoup trop occupé à esquiver d'une mouvement agile le jet de flamme que la louve venait de lancer, il ne s'était même pas rendu compte qu'elle lui avait adressé la parole. Plagio était surprit qu'elle agisse ainsi, mais surtout, qu'elle est une telle puissance. Mais alors que le Soleil lui chauffait durement le dos, il se souvint que ces êtres tenait toutes leur forces de l'Astre solaire, & ce dernier était à son Zénith, se qui ne présageait rien de bon. Plagio comprit qu'il se trompait sur es intentions de la Feu, car elle leur dit qu'elle était pacifiste, enfin, elle leur cria plutôt, car elle avait parlé d'une voix forte. Plagio pencha la tête sûr le côté quand elle se jeta dans l'eau pour essayer de stopper l'incendie qui se formait dans sa gueule fumante. Soudain, il vit son visage s’enfoncer vers les profondeurs du bassin. Plagio se rua au bord, & se pencha sur l'eau pour essayer d’apercevoir une tache orange. Mais, rien. Rien que l'eau troublé par des remous produit à cause du plongeon de la louve. Il se tourna lors vers la blanche louve, elle était parcourue de violents spasmes & Plagio lui lança un regard doux, quand des bulles attirèrent soudain son attention. Plagio se demandais si la louve s'était noyée? Cela était probable, étant donné que le fond de ce bassin était inexistant. Plagio fut soudain plonger dans les remord, il avait vu cette louve tomber & il n'avait rien fait, était-il vraiment un meurtrier? Devenait-il insensible à cause de l'accident de Lourille? Non... Non, ce n'était pas sa faute, mourir à cause d'un croche-patte, ce n'était pas... C'était un accident, il n'y était pour rien, il était innocent! Puis, alors qu'il commençait tout juste à entrer dans l'eau, de la vapeur s'en échappa. Plagio fit un bond en arrière, juste à temps pour que la louve orange ne le percute pas. Elle se dirigea vers le bord où elle s'affala, toussant avec violence. Plagio, très calme, se dirigea vers elle & la poussa pour qu'elle soit sur le côté & recrache l'eau qu'elle avait avalé. Il sentit ses muscles se contracter, & il posa une patte sur son épaule pour la rassurer & lui dire de ne pas bouger.
« Reste tranquille, tu as trop usé de ton pouvoir, tu dois te reposer. » Lui conseillais-je.
Peut-être allait-elle prendre Plagio pour un ignorant, mais il s'y connaissait mieux que personne. C'était le seul médecin de l'eau depuis des années, & il avait toujours bien soigné les loups blessés ou malades. Il lui sourit tendrement.
« Je ne vais pas te faire de mal. Moi aussi je suis pacifiste. » Enchaina-t-il sur un ton plaisantin.
Il enleva sa patte & se tourna cette fois vers la louve blanche. Elle avait l'air un peu plus calme, mais les apparences étaient trompeuses. Soudain, Plagio se souvint de ce qu'il avait dit à sa sœur qui ne voulait voir personne, trop méfiante à cause des mauvaises plaisanteries de ses frères, il lui avait dit : "La première chose à faire quand on veut savoir si on peut faire confiance à quelqu'un, c'est de lui faire confiance." Plagio sourit intérieurement à ce doux souvenir. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas vu sa sœur, qu'était-elle devenue? Il n'en savait rien, mais il espérait la revoir, un jour.
« Tout va bien? » Interrogea-t-il.
C'est vrai que la Solitaire n'avait pas l'air dans son assiette. Plagio la regarda un moment. Contemplant son pelage blanc, qui d'ailleurs, ne se révélait pas si blanc que ça, à cause des rayons du Soleil, Plagio n'avait pu remarqué que don pelage était bleu pâle.

Tout se passa tellement vite. Le louve sembla attaquer Plagio, puis se noyer, et voilà qu’elle était là et que le loup du clan de l’eau s’occupait d’elle. Mais que se passait-il? Elle sursauta lorsque le jeune médecin s’adressa à elle.

Je vais bien, oui. J’ai juste… Eu peur…

Elle contourna le bassin et s’approcha un peu. Elle ne voulait pas que la louve meurt. Bien sûr, elle n’aimait ni le feu, ni le clan qui le représentait, mais la louve n’avait pas choisi de naître au sein de ce clan. Et puis, c’était juste cruel de souhaiter la mort de quelqu’un, même celle de son ennemi. Ne sachant que faire, Maeya se contenta de demander :

Elle va aller mieux, n’est-ce pas? Elle va s’en sortir?

Puis elle se sentit ridicule. Non seulement elle s’était introduit sur le territoire de l'eau, mais à cause d’elle un loup du clan du feu aussi. Pourquoi Plagio se soucierait réellement d’elle? Il devait la considérer comme une nuisance. Ses oreilles s’aplatirent sur sa tête et sa queue ne fit plus aucun mouvement. Peut-être valait-il mieux qu’elle s’en aille maintenant, pour éviter des ennuis. Mais si Plagio était vraiment pacifique? Après tout, il avait aidé la louve du feu.

Maeya décida de rester un peu. La meilleure chose à faire était alors de se présenter, lui semblait-il.

Je me nomme Maeya. Je suis… Une louve solitaire… C’est moi qui ai criée tout à l’heure. Je suis désolée, je n’ai pas voulu que ça se termine ainsi…

Dernière édition par Pinkie le 28/4/2012, 04:59, édité 2 fois

Plagio

La belle louve solitaire devait être sûr son petit nuage, car elle sursauta quand Plagio lui adressa la parole. Mais elle lui répondit, vivement d'ailleurs, comme si elle avait peur de mourir le seconde suivante. Plagio se demanda si s'était lui qui la rendait aussi... Peu sûr d'elle. Mais Plagio stoppa net ses interrogations, après tout, qu'est-ce qu'il y connaissait, en sentiments? Le seul Amour de sa Vie, tellement douce & agréable, ne pensait plus qu'à la Mort. Plagio regrettait d'ailleurs ce comportement... Emila était si belle, quand il était avec elle, il avait l'impression qu'il aurait pus s'envoler, & décrocher la Lune. Rien que pour Elle. Il se retint de hurler sa tristesse, à la place, il préféra suivre des yeux la louve qui s’appelait Maeya. Plagio remua son nom dans sa tête, puis, en écoutant les dernières paroles de Maeya, il secoua légèrement la tête.
« Soyez sans crainte, elle va s'en remettre, & pour moi, cette rencontre -accidentelle ou non- ne fait que commencer. » Dit-il.
Il lui sourit amicalement puis reporta son attention sur la louve du Feu. Sa respiration était plus lente, elle avait l'air en meilleur état. Mais Plagio ne put qu'en conclure qu'elle devait être inconsciente. Cela lui faisait bizarre, qu'un instant plus tôt, il lamentait sur son existence solitaire, & que, à ce moment même, il soit entouré de deux louves. Mais Plagio était tellement heureux d'avoir enfin de la compagnie, qu'il se fichait pas mal du début catastrophique de ces rencontres. Il ne put même s'empêcher de faire apparaître quelque bulles du bassin, qui partira voler au gré du vent, puis s’éclater, répandant un millier de minuscules goutes sur les feuilles sèches des fougères.

Affaler au sol, elle ne devais pas avoir bonne allure ... Mais elle soufrais de sont manque d'énergie et aux lieu de rester elle se laissa tomber dans les mains de la doubleur. Quand elle ouvrit les yeux elle était en pleine forme elle se leva et remarqua ... que l'endroit était vide avec de la brume bleuter, les chutes ne fessai plus de bruit ... elle crue qu'elle était morte, pourtant elle entendes les voix des deux loup. Elle voulue fuir, courir, mais elle heurta quelque chose. S'était poilue ... Sans odeur Et froid.
C'était une louve, elle ne connaissais pas de louve de se genre, elle avais des grande oreille est une queue courte ... mais elle avis une allume familière, elle croyez la connaître. Alors elle se tenue fièrement et dit :

Qui es-tu ! Quelques de fait ici ! Où somme nous !! Aller dépêche toi, dit moi.
- Moi c'est Sorra !

Alors Solème eu les yeux écarquillés ! Devant elle se dressait sa mère, elle se mi alors à l'examiner.
Elle portant son apparence musquer de c'est deux parent, mais elle n'avais ni queue courte, ni grande oreille.
Alors elle tomba en sanglot elle lécha sa mère avec affection. Elle voulais lui poser plan de question mais sa mère n'u dit que :

Je t'aimerai toujours mon enfant ! Maintenant prend ton âmes en plaine pâtes et ta progénitures viendra.

Puis Sorra disparue comme de la fumer au vent. Solème fut tres étonné et se posait des question :
Donc je vais avoir des enfants .. Mon marie sera un alpha, mais que veux dire ma mère !?

Quand elle se réveilla un loup bleu l'examiner et prenais soin d'elle, c'était bien Plagio en le regardent Solème fut étonné de voir un loup ... Bleu ... mais son âmes devait etre d'un beauté ! Elle crue qu'elle était tomber amoureuse ... mais elle ne pouvais pas !
C'est enfants aurais honte d'être des sang mêlé, et sa pourrai nuire à son destin de futur chef de clan. Elle remarqua qu'elle était en pleine forme, pour une fois le soleil à son zénith fu utile. Alors elle se releva honteuse la tète basse ... elle s'attendait à se que l'on se moque d'elle, mais les deux loups eux plus l'aire d'être soulager que autre chose.

Maeya ne savait vraiment plus que dire. Plagio semblait gentil et si peu agressif! Mais en même temps il avait l’air si jeune… Il n’avait pas encore développé son agressivité. Maeya pouvait-elle vraiment lui faire confiance? Elle préféra ne pas parler et attendre que l’autre louve ne se réveille. Décidément, elle n’aurait jamais dû crier. Elle n’aurait pas dû chanter, pas sur un autre territoire que le territoire neutre.

Elle ne savait plus si elle devait être contente ou non. Tous les deux semblaient pacifiques, Plagio donnait même l’impression de vouloir discuter. Mais que voulait-il dire par : cette rencontre ne fait que commencer? Il n’avait donc pas l’intention de la laisser partir…

Mais pourquoi partirait-elle? Elle avait l’occasion de se faire un ami, ce qu’elle avait toujours rêvé. Il ne suffisait que d’engager la conversation. Mais de quoi pouvait-elle bien parler?

Elle allait se lancer quand des bulles sortirent du bassin et allèrent éclater plus loin. C’était si magnifique! Pendant quelques secondes, Maeya redevint calme, même presque heureuse, mais n’eut pas le temps d’en profiter, car la louve se réveilla et déjà l’inquiétude la gagnait de nouveau.

Comment vous sentez-vous?

Voyant qu’elle allait visiblement bien, l’inquiétude de Maeya fut remplacer par de la désolation.

Je suis vraiment navrée de ce qui vous est arrivé… Tout cela est de ma faute…

Elle retint une larme qui lui montait aux yeux : elle se rendait compte qu’à cause d’elle, une louve avait faillit perdre la vie. N’étant pas capable de rien rajouter, elle se tut et se coucha sur le sol, le museau posé sur ses pattes avant et pointant la terre.

Dernière édition par Pinkie le 28/4/2012, 05:01, édité 3 fois

Plagio

Plagio observait toujours la louve solitaire. Cherchant un, si petit soit-il, signe qui pourrait lui montrer se qu'elle ressentait. Plagio se surprit d'ailleurs à la dévisager de la sorte, ce n'était pas très amicale de sa part, c'est pour ça qu'il détourna son regard, à temps, d'ailleurs, pour voir la louve du feu se relever & baisser honteusement la tête. Plagio se demanda pourquoi elle avait honte, c'est vrai, ce n'était pas sa faute si son pouvoir avait agit sans sa permission. Plagio connaissait ça, perdre le contrôle, mais il ne se le reprochait pas, & n'essayait pas non plus de mieux contenir sa joie. Il faut dire qu'il aimait beaucoup s'exprimer, & il n'aimait pas du tout garder ses sentiments pour lui, il avait la désagréable impression de mentir quand il cachait sa véritable personnalité. C'est pour ça qu'il était sincère, sans être trop brusque, bien sûr. Il était tellement plongé dans ses réflexions, qui n'entendit même pas la question de Maeya, en revanche, ses oreilles se tournèrent vers elle quand elle commença, encore une fois, à s'excuser. Plagio se tourna vers elle.
« C'est de notre faute à tous. » Répliqua-t-il.
Il regarda cette fois la louve du feu. Elle avait l'air en meilleur forme, ses yeux pétillaient, & elle ne boitait pas. Plagio espérait qu'elle ne garderait pas de séquelles de cette horrible accident, qui lui presque prit la Vie. Il lui sourit avec chaleur, le loup de l'eau voulait qu'elle se sente plus à l'aise, car elle avait l'air légèrement tendue.
« En partie à Maeya, pour nous avoir incités à venir, à toi, louve du feu, mais aussi à moi, je ne voulais pas être si brusque, & je m'en excuse. Mais ne nous laissons pas plonger dans les remords, cela serait dommage. » A-t-il terminé.
Puis, il sourit joyeusement. Il n'avait pas envie de gâcher son temps aujourd'hui, voilà longtemps qu'il n'avait vu personne de son espèce, & il voulait en profiter pleinement! & il était de son devoir d’accueillir chaleureusement les loups. Ainsi, la louve du feu ne le chasserait pas quand il posera une patte sur ses terres, enfin, il espérait que ça se passe comme cela. De toute manière, il n'avait ni la volonté, ni la force de les faire partir. Quelle image se forgeraient-t-elles de lui sinon? D'une brute possessif? Plagio en voulait pas qu'elles pensent ça de lui, il n'était pas aussi égoïste, il aimait partager, surtout que la nature n’appartenait à personne, & que ça ne l'aurait pas dérangé si il n'y avait un seul clan sur Les Elémenloups.

NON, c'est de notre faute à tous et a toutes! Maeya tu n'aurais pas du hurler et nous deux /en regardant Plagio/ nous n'aurions pas du venir. C'est aussi de ma faute, j'aurais due rester à l'ombre des arbres. Allons loin, loin d'ici...

Solème disait sa, comme si une ombre noire s'emparait d'elle... Comment cela se faisait-t-il... Elle fit un sourire sadique, se retenant de rire, elle pensa à Pandore, ses parents, sa mère, sont père... A la mort. Elle pleurait des larmes, le reflet rouge du soleil aurait fait croire que c'était du sang. Elle voulait tuer, c'est yeux rouge reflétait la haine de la vie. Puis une sombre pensée lui passa par la tête... C'était la voix de sa mère : Pourquoi la vie nous joue des tours, la vie m'a tuer ! LA VIE M'A TUER !
Elle tremblait, elle entendait son cœur. Ont aurait put penser qu'elle était en train de mourir ou de rejoint Pandore. Elle pleurait avec le sourire. Elle leur tourna le dos pour voir son reflet dans l'eau. Elle avait les yeux écarquillés, son reflet étais celui de Pandore qui lui souriait : Rejoins moi, mon amie! Tu as le pouvoir sur ton clan, la guerre n'est pas encore fini !!
Elle bu un peu d'eau pour enlever cet horrible reflet. Puis elle sécha ses larmes, se retourna les regarda et leur dit en essayant d'être sérieuse:

Allons sur les terres du feu, j'ai le contrôle de c'est terres ... elles ... elles sont ... à moi ! Allons à la rivière de la Roche ! De plus j'ai faim, nous pourrions chasser sur la route!

Dit-elle avec un sourire, comme si elle avait oublié les paroles de son esprit, de sa mère, de Pandore et d'autre ...
Je suis encore désolée pour se qui vient de se passer pensa-t-elle. Pourtant son envie de tuer des loups ne s'arrêtait pas, elle pensait que tuer quelques lapins pourrait la satisfaire.

Ce serait un bon moment pour apprendre à Maeya de chasser en groupe, car elle est seule.
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[je commencerais le nouveau topic au nouveau lieu ! Car j'aimerais que l'on ai plus de loups dans notre petit RP, OK ^^]

[Je suis désolé, mais si vous changez d’endroit, ce sera sans moi. Maeya ne supporterait pas la présence de plus de loup pour l’instant. De plus, je rappelle que le feu est l’une de ses phobies. Elle ne suivra jamais Solème.]

Maeya regarda confusément la louve du feu. Que se passait-il? Elle était… Étrange. Elle la regarda pleurer et se regarder dans l’eau en se demandant ce qui pouvait bien lui passer par la tête. Puis elle proposa d’aller sur les terres du feu. Lorsque Maeya entendit le « elle sont à moi, » ses membres se raidirent. Une Alpha? La louve était une Alpha? Maeya avait dérangé une Alpha, alors que cette dernière n’était pas sur son territoire. Elle l’avait fait se faire repérer par un loup de l’eau, de plus. Quelle était la vraie raison d’aller sur les terres du feu? Punir Maeya, sans doute. Elle ne voulait pas la suivre. Et si la louve du feu essayait de lui faire du mal, le loup de l’eau la protégerait. Enfin, elle espérait. Il avait eu l’air drôlement amical avec elle. Peut-être était-il un espion au compte du feu? Alors Maeya était dans une situation bien inconfortable. Elle devait partir.

- Je suis désolée, mais je ne puis accepter. C’est gentil de me le proposer, mais… Je ne puis rester.

Que sa peur paraisse ou non dans sa voix, elle n’avait pas remarqué. Tout ce qu’elle voulait, c’était s’éloigner. Elle se retourna donc brusquement et se lança au pas de course, le plus loin possible. Loin de l’Alpha du feu, loin de… Plagio…

Lorsqu’elle pensa au loup de l’eau, elle ralentit, quelques secondes, comme si le laisser derrière lui faisait mal. Plagio s’était montré amical, il avait été gentil avec elle. Ils auraient pu devenir amis, si la louve du feu n’avait pas été là. Il ne pouvait pas être un espion. Elle devait s’être trompée.

Se promettant de retourner voir le jeune loup de l’eau plus tard, elle continua de courir sans regarder derrière elle.

[désolée NanOùn de t'avoir fait passer ton tour... tu me le pardonneras j'espère !]
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Les paroles de Maeya déçuent Solème, elle ne voulait pas lui faire de mal en tout cas après s'être mord la patte pour reprendre ses esprits. Elle venait de dire n'importe quoi puis au pas de course, sans même attendre Plagio, essaya de rattraper Maeya.

Attend !!!!!!! Je.. je ... /dit elle essoufflée d'avoir courue/ Je suis confuse, j'ai dit n'importe quoi ! Ces terres sont aucunement à moi ... Je n'suis qu'une Bêta, mais notre clan n'a pas d'alpha. Alors je me considère alpha vue que je suis la louve la plus haute placée du clan du feu. Excuse moi au moins, au lieu de t'enfuir ... comme une lâche !

Son visage sadique s'était transformé en visage triste d'une louve modeste ... Elle ne pleurait plus sadiquement mais tristement.
Elle baissa la tête, regarda ses pattes et se disait que Maeya aurait été... Une amie ! Comme par hasard à ce moment là, l'air se rafraîchit, ca annonçait de la pluie. Maeya regarda Solème ... Dans ses yeux on décelait de la pitiée, mais aussi de la haine pour cette louve (Solème) en général. La louve du feu avait toujours faim, mais plus envie de tuer.

Alors, on reste ici ?

Solème lança ses paroles en l'air, comme un petit louveteau elle était decut. Elle voulait recueillir Maeya, en faire une grande guerrière, mais son destin n'était pas celui du clan du feu, mais d'un autre. Solème venait de connaître une chose qu'elle se refusait de croire, c'était une impertinente, une égoïste qui voulait tout pour elle sans même laisser le choix aux autres .

Plagio

Plagio ne comprit pas très bien ce qui se passait. Tout était si calme, si paisible. Au début, Solème -pleinement remise de sa... Brusque noyade- avait gentillement demandé qu'ils viennent sur ses terres. Plagio en fut légèremment troublé. Il pensait que la louve du feu ne devait pas se sentir en sécurité sur les terres de l'eau, pourtant, il ne permetrait à personne de leur faire du mal, car il n'oubliait pas la jolie solitaire. D'ailleurs, quand elle refusa l'invitation de la louve orangée, il y avait de la crainte dans sa voix. Plagio trouvait ca dommage, puis, avant qu'il n'ai put ouvrir la gueule pour s'exprimer, elle sauta à travers les fourrées & disparut, laissant derrière elle sa phrase en suspend. Il fut aussi étonné de voir Solème s'élancer à sa poursuite en criant qu'elle ne voulait pas lui faire de mal & qu'elle était Bêta. Plagio ne réagit pas tout de suite. Il regardait la légère ouverture qu'avait crée les deux louves dans les fougères. Il avait levé les sourcils & affichait une expression d'extrême surprise. Il évalua la situation. Maeya s'était retirée sans explications -à part qu'elle ne pouvait rester- & Solème, pour une raison qu'il ignorait aujourd'hui la poursuivait. Il secoua la tête n'arrivant pas à comprendre leur façon d'agir. Il était un peu vexé aussi, elles l'avaient laissé en plan sans un au revoir. Mais ce qui affectait le plus le loup bleu s'était que la Bêta n'avait même pas prit la peine de le remercier après qu'il l'ai remit sur pattes, & il trouvait cela très impoli de sa part.

Il soupira. Il était une fois de plus seul, seul dans ses terres que tous les loups fuyaient. Il aurait aimé faire plus ample connaissance avec les deux louves, leur offrir l'hospitalité, leur montrer que les eaux étaient des loups d'une grande générosité, il aurait bien aimé leur préparer un bon repas, il connaissait ses terres comme le jaune de ses yeux, il n'aurait donc pas été difficile d'attraper plusieurs lièvres, & avec un peu de chance, une biche. Soudain il réalisa où il se trouvait. Il était aux Chutes Magistrales où les Dieux animaux venaient s'hydrater. Vivement, il fendit l'air, & malgré ses 5 lunes il s'éloigna avec rapidité des sources, flairant l'herbe, il devait retrouver la trace de Solème. Oui, parce qu'elle avait parlé de chasse nan? En revanche, elle n'était peut-être pas au courant que les Dieux venaient souvent ici, elle pouvait donc en tuer un par erreur, & si cela arrivait, Plagio serait plongé dans les remords & le monde en subirait les conséquences. Il repéra l'odeur de brulé de la Bêta assez vite & en suivit la trace. Il la vit, tache orange à travers les troncs marrons & les feuilles vertes. Il l'apostropha d'une voix haletante. Il la dépassa & se plaça devant elle.
« Miss Solème... Je... Il ne faut pas chasser ici, vous... N'êtes peut-être pas au courant car... vous n'êtes pas une Eau... Mais... Les Dieux viennent... S'abreuver ici... Il ne faut pas chasser dans ces chutes! » Dit-il, coupé à plusieurs reprises par son besoin d'air.
Mais Plagio n'avait pas le temps de s'attarder au près du Bêta, il devait absolument prévenir Maeya, il ne voulait pas qu'il lui arrive quelque chose, sinon il s'en voudrait à tout jamais... Comme avec Emila. IL adressa donc des adieux à Solème & s'enfonça dans la verte végétation.

Le chant de l'âme [Plagio et Solème seulement] Terminé Theendt

Ce rp ne sera pas noté étant donné que le système de point n'était pas mis en place à ce moment là.
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» Promenade... agréable [PV Plagio] TERMINE
» deux petits bagarreurs (PV Plagio ) - TERMINE
» Le chant de l'Automne... [PV WaterTail]