Quête Absurde : Le cerf Azurée. PV CYNN - TERMINÉ

Tout avait commencé un jour où la faim tirailler Parandar avec plus d’insistance que d’habitude. Il s’était bien avalait un ou deux rongeur, mais fatiguait de leur goût insipide il avait fini par abandonné la chasse et était parti de son trotting de sport le long de sentiers prés de la forêt des rêve bleue. Les même sujet habituel tracassé le loup et de nouveau aussi, il se résumait en quelques noms : La louve noire qui hanter ses rêves, Ré’, Dark’ et Pandore. Il ne devait pas oublié les objectifs qu’il s’était lui même fixé, c’est pour ça que même au bord de l’inanition il continuait son entrainement tentant au maximum de garder la tête vide, aussi vide que pouvait être son estomac.


Il finit par s’affalait sous un petit arbre à l’orée de ladite forêt. A moitié somnolant, à moitié cauchemardant, il finit par se réveiller en sursaut. Là en face de lui un vieux loup crasseux le regardait de ses yeux aveugles. Avait vous déjà soutenu le regard d’un aveugle ? En voilà une chose étrange, parce que ce dernier paraît d’un certain nombre de plume dans la crinière semblait vous transpercer de part en part. Parandar s’approcha doucement.

« Fils d’Uther te voilà bien grandi. Annonça l’aveugle
-D’où me connaît tu ? »

Le loup partit d’une quinte de toux, il fallut un instant à Parandar pour voir qu’il avait un fou rire. Puis reprenant un visage solennel.

« Au milieu de la forêt des rêves bleue, là où la lune rejoint un ruisseau sacré, s’ébat une créature mystique, un cerf au pelage azuré, un sage capable de te donner la puissance qui te manque pour vaincre Pandore.
-Tu déraille le vioc, t’es sûr que tu as pas forcé sur l’herbe ?
-Parandar, le ton était autoritaire, la quête n’a pas d’importance c’est la route qui compte et la personne avec qui tu la parcours.
-D’abord je suis seul et ensuite je crois que tu devrait pensez à te recycler le vieux.
-Ce serait dommage de manquer la seule façon que tu possèdes de vaincre Pandore , non ? »

Une grande bourrasque passa aveuglant un instant Parandar, quand il rouvrit les yeux, le vieux avait disparut. Que ferait il ? Suivre les indications d’un vieux fou ? Aprés tout il n’avait rien à perdre et si on lui demande, il dira qu’il ère.

Au bout de quelque temps à s’enfoncer dans la forêt, la faim se fit plus pressante, il trouva un vague cour d’eau où il se désaltéra, il réussit même à mettre la main sur un mulot, les lapins semblant avoir déserté l’endroit… épuisait, il finit par s’endormir, caresser par une douce brise, il replongea dans ses cauchemars où un grand loup noir au yeux rouges le poursuivait au travers des bois…

Il se noyait à présent. Tentant vainement de se sortir d’un courant marin . Il prit sa dernière inspiration avant de sombrer...

Il poussa un petit cri échos du cri de quelqu’un d’autre, son humeur été exécrable. Il vit cette louve sortir de l’eau s’ébrouer avec grâce. Et une sorte de colère latente gonfla dans son cœur. Il était cependant encore trop fatigué pour combattre et une certaine auras entouré les loups puissants, cette femelle bien qu’elle ne paie pas de mine avec son pelage mêlée de plume détrempée, avait cette auras. Il avait donc décidait de l’ignorer. Déjà que le vieux l’avait envoyer chasser une chimère fallait pas non plus poussait le bouchon, jusqu'à se faire mettre une rouste par une bestiole. C’était à présent officiel : c’était une journée pourrie. Il fit mine de somnolait alors. Mais il sentait pesait sur lui un regard perçant.

« Dit le Piaf, tu ne sait pas que ce n’est pas polie de dévisager les gens comme ça ? »

Il avait plus ou moins réussit à cacher son animosité, bien que le moins poli des deux était bien évidement Parandar. Peut être était-ce du à la fatigue, ou à la faim. Il prit le temps de la regarder. Elle était plutôt belle dommage qu'a la place de véritables oreilles il y avait deux petite aile. Il posa lourdement son regard noisette au fond des yeux de la louve et c'est d'une voix narquoise qu'il ajouta:

"T'es quoi toi, le croisement entre un loup et une poule?"

(Voilà désolé pour la bourde encore et magnifique signature au passage.)

( uhh, memphis a pas d'aile :B ce sont ses oreilles qui ressemblent a de mini-ailes *fuis* )

Mince je n'avait pas compris! Tinquiete je vai éditer dans la journée ....

Parandar éclata d’un profond rire devant la mine de la louve.

« Ton père a peu être fais des chose pas nette avec un volatile, ce qui est sûre c’est que tu as le caractère d’une louve. »

Il plongea son regard dans celui neutre de la louve, le sien était emplis de malice. Haïr un être parce qu’il est différent et l’héritage donnait par sa lignée. Cependant le loups commençait à avoir des doutes. Dark’ l’avait vaincus à la loyale sans utilisé ses pouvoirs… D’autre était venus avec leur différence eux aussi. Apportant leur pierre a son histoire. Alors peut être que…

« Selon un vieux que j’ai rencontré tout à l’heure, il y a un ruisseau sacrée par là ( geste ample de la truffe.) Cela m’étonnerait qu’il y est vraiment un cerf azurée qui y habite mais bon, tu ne saurait rien la dessus. Demi-poule. »

Il la toisa de son sourire le plus narquois. Jusqu'à quel point cette louve était elle patiente? La quête était inutile certes le cerf n’existait que dans la tête du vioc, certes il n’y avait peut être même pas de ruisseau sacrée, mais une phrase du vieux le laissait perplexe : la quête n’a pas d’importance c’est la route qui compte et la personne avec qui tu la parcours. Cette personne était elle censé être cette louve ?

Plusieur chose s’était enchainé d’un coup. La première question était complexe, la deuxiéme phrase le tira de sa reflexion, la troisième ressembler à une proposition d’amitier. Le loup soupira.

« Nous solitaires ( il incluait Memphis ) somme toujours d’ailleurs, semble t’il que se soit la terre qui nous a engendrait. Dans une autre vie j’étais le fils d’Uther champion du clan de l’eau, main droite de l’alpha. A présent je suis juste Parandar, ombre de la mort, je cherche à venger ma famille, mon frère et ma sœur sont morts. »

Il prit une grande inspiration, avant de continuer.

« Les gens comme moi sont mort à l’intérieur nous faisons de mauvais amis, je ne sait pas consoler, ni être tendre, ni rien de ce que fais un ami en générale, le mieux que je puisse faire c’est écouter. Ne t’encombre pas d’un ami comme moi. »

Sa mine s’assombrit encore en contemplant le petit ruisseau qui ne payait pas de mine.

« Là où la lune rejoint un ruisseau sacré, c’est ce que le vieux a dit, on a encore deux bonne heure a attendre avant que la lune soit assez haute pour éclairer se ruisseau et nous serons fixer.»

Il parti d’un petit rire triste. Puis se pencha pour boire dans le ruisseau. Il eut soudainun grand fou rire et sauta sur le rocher au milieu du ruisseau.

« J e m’auto-proclame roi du ruisseau sacré et je le défendrait contre les emplumés. Tout le monde sait que les emplumé sont l’ennemie mortelle des cailloux je ne te laisserai pas toucher à mon cailloux Memphis l’alpha-poule. »

Il se mit dans une posture de jeu, bas sur les antérieurs, son sourire lupin un peu dingue attaché aux babines et pour ne pas laisser la louve réfléchir, il attrapa un peu d’eau avec sa queue et aspergea l’alpha. Il avait remarqué son aversion pour l’eau boueuse.

« La peur te paralyserai t’elle, oisillon. »

Il lui tira la langue dans une attitude digne d’un louveteau de trois mois.

(Faut que j'arrète d'écouter camelia jordana en écrivant je crois...)

- Alors si tu n'en vaut pas la peine, je n'en vaut pas non plus la peine...

Parandar ne saisit pas tout de suite ce qui c’était passé. D’ailleur mêm e en y réfléchissant il ne comprenait pas.

« Dit ta été dur la l’emplu… »

Ses mot se coincèrent dans sa gorge. Le regard profondement troublé de la louve lui imposa le silence. Il s’approcha d’elle doucement. Qu’aurait il put lui dire ? Il n’avait jamais était doué pour ça, il le lui avait dit non ? Le loup s’approcha, il se rappela sa mère et de ce qu’elle faisait pour le consoler.

Un chant, une berceuse du clan de l’air. Il vient doucement s’allongea prés de la louve posa son cou sur le cou de la louve afin que les vibrations de sa gorge parvienne à son auditrice comme l’avait fait tant de fois pour lui Katara.

Le chant commença avec une douce basse, parandar y mit tout la tendresse qu’il put et ce n’était pas chose aisé lui qui été si rustre. Ce chant, il n’avait entendu ses paroles qu’une fois car son père se mettait dans des colères terribles en l’entendant. Cependant elles l’avaient marqué. Les autres fois sa mère ne chantait que la mélodie. Ce chant parlait des territoires du clan de l’air, de leur beauté. Du carmin du fleuve hibiscus à la place sacrée du puit aux vœux. Le chant durait un certains temps ; il était emplis d’une douce mélancolie et d’un profond désire de vivre. Ce chant avait toujours anesthésiait ses peurs, c’est pour cette raison qu’enlaçant ainsi la louve, il chantait.

A la fin du chant Parandar mumurait presque, il finit par dire :

« C’est une berceuse du clan de l’air. Je me suis toujours demandé pourquoi ma mère qui était du clan de l’eau me la chantait. Elle le faisait à chaque fois que je faisait ce cauchemar, un grand loup noir me poursuivait à travers la forêt et puis je me noyais. »

Il ne lui dit pas qu’il faisait toujours ce rêve.

« Tel est la question que tu pose à l’oracle ? ainsi soit il . »

Parandar leva les yeux se tenant devant lui un cerf au pelage azuré doté d’une ramure d’argent et de deux yeux similaire, il fit un bruit étrange avec sa langue et tout devient flou. Le niveau de l’eau augmenta tout à coup et Parandar resserra sa prise sur le cou de la louve en ramenant son menton vers lui. Que ce passait il donc ?. L’eau était presque sur eux quand il la vit : Sa déesse...

// Tout est tangible donc Memphis voit aussi ce qui ce passe//

La louve blanche, la lune bleue sur son front et… deux grande ailes blanches rabattues contre ses flanc mettait bas. Elle chantait la berceuse pour se rassurer. Cachait dans les ténèbres un loup noir aux yeux rouge regardait la scène. Le loup qui hantait ses rêves. Parandar était comme paralysé.

Le dernier petit naquit. La louve sans même nettoyer sa portée se releva et fit face à l’autre ailes déployées.

« Champion du clan de l’eau, main droite de l’alpha, montre toi Uther, tu n’es qu’un assassin au service d’un tyran. »

Le loup sorti de son couvert, les ténèbres se dissipèrent. Son père se tenait face à la louve. L’eau continuait à monter. La louve repris.

« Un solitaire sans pouvoir, n’importe quoi tu as toujours était un assassin du clan de l’eau c’est toi qui provoque cette crue n’est ce pas ? »

D’un coup d’aile, elle fit passer ses petits sur un gros rocher, elle n’y grimpa pas mais ce mit en position de combat. Parandar y voyait le géni sadique de son père. Il avait attendu qu’elle mette bas, à présent elle n’avait plus que deux choix ou rester et défendre sa portée, ou s’envoler et l’abandonner. C’était une mère, elle n’avait donc aucun choix, Uther l’avait cloué au sol.

« Atalante tu n’es qu’une chienne du clan de l’air, tes rejetons sont un blasphème, un pont entre nos deux clan, absurde. Toi et ton idiot de compagnon vous y avez cru hein ? Mais jamais l’alpha ne le permettra. Je suis sa main droite, je suis son jugement, je suis l’ombre de la mort. »

Parandar compris enfin qui était son père, et la suite ne fit que détrônait ce dernier de son pied d’estale. Le femelle utilisa ses dernière forces pour lancé une énorme rafale de vent sur l’assassin, mais ce ne fut pas suffisant, les crocs d’Uther s’enfoncèrent dans sa gorge et elle rendit son dernier souffle. Non content d’avoir commis un tel crime le loup noir se dirigea vers les petits avec une patiente sadique il les noya un à un dans la rivière avant d’empiler les cadavres sur le rocher. Quand il saisit le dernier celui ci lança vers Parandar un regard noisette extrêmement familier. Il s’apprêtait à le noyer quand une vague de fond vient happer le monstre.

« Touche encore à un poil de ce bébé Uther et je met fin à mes jours. »

Katara se tenait debout, épuisait par son fardeau, elle était pleine presque à termes vus la rondeur de son ventre.

« Tiens tu à avoir une descendance, mon amour? »

La menace gronder dans sa voix, Uther se releva surpris.

« C’est un ordre de l’alpha
-Qu’est ce que ce petit fera contre l’alpha, et puis personne ne saura qu’il ne s’agit pas de l’un des tiens, Uther fils d’Hécate.
-Katara, je n’ai pas besoin d’un fils inutile
-Mais moi j’ai besoin de Parandar, alors je le garde et le jour ou tu essais de faire quoique ce soit contre lui je me suicide, compris ? »

Uther tourna les talons et s’enfuit, Katara ramassa la petite chose dans sa bouche, elle pleurait. Les deux petits yeux du louveteau se braquèrent sur les intrus, ceux qui n’appartenait pas à cette espace temps, puis le mirage s’évanouit. Le ruisseau décrus lentement. Parandar ne pensait à rien, il continuait de serrer Memphis sous son menton. Quelque chose de liquide s’écoulait de ses yeux. Et le grand cerf reparut.

« Voici la réponse à votre question. (Il planta ses yeux dan ceux de Memphis) Vous avez aussi le droit de poser une question, quel est t’elle ? »

Combien de temps s’était il écoulé. Dans cette étrange étreinte les deux être lupins restaient immobile.

Parandar était perdu, tout ce en quoi il avait cru jusque là venait de disparaître. Sa lignée, qu’elle était sa lignée ? Qu’avait il encore à prouver et à qui ? Pourquoi combattrait il encore Pandore ? Pour venger un assassin qui a tuer sa mère ? Yllia n’était donc pas une déesse, il lui avait confié tout ce qui faisait de lui un loup et elle n’était que le reflet passé de sa mère défunte. Une immense solitude le prit. Lui qui était un solitaire, il avait toujours était accompagné par ses principes, ses souvenirs, les codes de son père. Aujourd’hui il était seul. Il savait qui était Parandar fils d’Uther, mais qui pouvait bien être Parandar fils d’Atalante ? Et pourtant un vague sourire finit par illuminer ses babines c’est à peu prés à cette instant qu’il sentit les plumes devant ses yeux. Il devait remettre à plus tard ses questionnements. Il ne pouvait avoir de réponse pour qu’une seule d’entre elle pour l’instant.

Il se releva, s’ébroua, se décoller de l’étreinte lui fit étrangement mal. Posa un regard franc mais quelque peut dénuer d’émotion sur la louve.

« Comment vas tu Memphis… (Il hésita à continuer) J’ai eu peur pour toi ? Est ce de ma faute, as tu si peur de l’eau ? »

En réfléchissant très vite il ajouta.

« Je ne te demandes pas de me confier un souvenir douloureux alpha-poule (Il avait changé de ton, il ne voulait pas qu’elle sente trop son inquiétude), la prochaine fois j’éviterais de t’éclabousser. »

Il plongea son regard au fond des yeux émeraudes de la louve. Bien qu’il ne sache plus qui il était, il ne voulait pas être ce genre de loup qui n’était pas franc, mais une certaine gène l’étreignait il avait été très proche d’elle pendant un moment, c’est le genre de contact dont le gris n’avait pas l’habitude.

« Damne, tu ne seras donc jamais une poule… mouillée. »

C’est ce que répondit le loup gris à la déclaration de la louve. Un peu avant de se prendre de la neige sur le nez. Parandar était décidément fasciné par les pouvoir de la louve. Il sourit à son tour en entendant la boutade de l’alpha. Elle allait donc bien, du moins elle en avait l’air. Un doute persistait au fond du cœur du loup. Ce sentait elle obliger de sourire ainsi ?

Parandar se mâcha la langue. Il aurait voulu lui dire, mais les mots ne lui venaient pas. Il était peut être encore trop fragile. Elle n’avait pas à faire ça. A faire sembler d’aller bien, à porter le poids de tout les damnés de cette terre. Etait ce là sa vision d’être alpha ? Les Alphas que Parandar avait vus dans sa vie n’aimait que leurs propres intérêts. Il y avait à présent deux exception, deux louve . Réglisse alpha du feu, semblait ne pas avoir la carrure d’un alpha, mais elle dégageait une aura qui pousse les autre à la suivre. Cependant Memphis était différente que pouvait bien ce cachée sous cette mine réjouie ? Ce regard terrifié, l’abandon, la fin dans ses yeux émeraude. Un frisson parcourus la colonne vertébrale du loup.

Les mots lui vinrent sous cette forme, comme il créait parfois des chants à la lune. Parandar avait laissé échapper son étrange poème. C’était sa vision de Memphis, la louve terrifié étendu sur le flanc et cette étrange attitude qu’elle avait à présent.

« Le jour se lève, un étrange jour l’emplumé qu’en dis tu ? Si tu vas bien et que toutes nos dettes son payaient (Il parle de la neige sur le museau) alors je vais me retirer. Milady L’emplumé, je suis enchanté d’avoir rencontré la grande alpha-poule, sommité chez les volatiles et bientôt chez les loups. »

Il lui fit une étrange révérence si exagérer qu’elle avait quelque chose de burlesque. Puis attendit la réponse de la louve avant de partir.